Bonjour !

31 ème participation au défi auquel je participe, alors là ce fut du plaisir c'est toute mon enfance.

Mais j'ai voulu apporter un plus avec une parodie ou plutôt une moquerie de l'époque des Yéyés et en reprenant tout les chanteurs et chanteuses cités dans cette parodie, j'ai mis dans l'ordre les chanson moqué par 

Pierre Gilbert, pensionnaire à part entière du théâtre des Deux Anes, et du Caveau de la République"

Et bien mesdames messieurs, dans les année 60, lorsque nous écoutions la radio, qu'est-ce que on entendait ? Les idoles, encore les idoles, toujours les idoles. Salut les copains, allez, ça chauffe, ça balance, terrible, hié hié hié hié…

 

Ici sur ce blog le vendredi c'est en chanson ...

 

 

 Cette semaine Jean Marie " Chez moi vous êtes chez vous " 

Nous demande le thème "Des yéyés"

Sheila "Le sifflet des copains"

 

 

Johnny Hallyday "Pour moi la vie va commencer"

 

Sylvie Vartan "Il revient"

 

Richard Anthony "J'entends siffler le train"

 

Sylvie Vartan "Si je chante"

 

Françoise Hardy "Tous les garçons et les filles"

 

Patricia Carli "Demain tu te Maries"

 

Richard Anthony "C'est ma fête"

 

Claude François "Si j'avais un Marteau"

 

Pierre Gilbert "les yéyés"

Voici mes choix j'espère qu'ils vous ont fait passer un bon moment et que vous aurez pris autant de plaisir que moi j'ai pris en créant cet article.

N'oubliez pas un petit com' c' est toujours agréable à lire …

Signification

faire le naïf pour obtenir quelque chose, Faire l'imbécile pour obtenir ce que l'on souhaite

Origine

Cette expression fut employée pour la première fois par Rabelais au XVIe siècle. Il faisait référence à cet animal très entêté capable de braire aussi fort et aussi longtemps que possible jusqu'à l'obtention de sa pitance: le son, une céréale.

Voilà un animal qui, depuis longtemps, symbolise la stupidité et l'entêtement.
Donc, pour commencer, faire l'âne c'est bien faire l'imbécile.
Mais en quoi le son serait-il un avantage pour cet équidé ?
Je ne sais pas si vous vous êtes déjà trouvé à côté d'un âne en train de braire, mais si c'est le cas, vous avez pu constater que c'est un animal qui a énormément de coffre et que du son, il en produit, sans économiser les décibels.
Notre son ici, ce n'est pourtant pas le bruit qu'il émet, mais la pitance qu'il attend. Ce son-là n'est autre, en effet, que la céréale, très prisée de l'âne et qu'il avale avec gourmandise.
Cette expression était utilisée au XVIe siècle par Rabelais qui écrivait, en vieux français : « Gargantua faisait de l'âne pour avoir du bren » (le bren étant le son, bien entendu).

Compléments